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Phytocorsa - Christophe Girardin Andreani

thèmes abordés: médecine naturelle, phytothérapie, détoxication, ethnomédecine, nutrition, diététique, REIKI et santé holistique,

la médecine ne sait pas gérer les nouvelles maladies

Publié le 22 Décembre 2014 par phytocorsa

 

La médecine d’hier ne sait pas répondre aux nouvelles maladies

 

Copyright Christophe Girardin Andreani

 

 

 

Curieusement et cela n’interpelle pas grand monde, la consommation de gélules, pilules et comprimés est en augmentation constante alors que l’état sanitaire des populations occidentales se détériore de plus en plus.

 

SIDA, maladie de Lyme, cancers, maladies cardiovasculaires, troubles du comportement, dépression, maladies auto-immunes, maladies neurodégénératives sont en augmentation exponentielle, malgré des crédits pharaoniques alloués à la recherche.

 

Richard Nixon annonçait il y a une quarantaine d’années l’imminence de la victoire contre le cancer. On sait où nous en sommes aujourd’hui avec une explosion de l’incidence des nouveaux cas diagnostiqués chaque année.

 

Et affirmer que cette augmentation n’est due qu’à l’augmentation de la durée de vie et à l’efficacité croissante des outils de diagnostic précoce n’est qu’une imposture.

 

En effet, sous cet éclairage propagandiste d’une prétendue augmentation de l’espérance de vie, comment expliquer que des sujets de plus en plus jeunes, voire des nourrissons, voire des nouveaux-nés, soient atteints ?

 

Comment expliquer que les animaux, qui ne sont pas dépistés – les pouvoirs publics se moquent éperdument de la souffrance animale, jusqu’à laisser en France des pratiques barbares comme l’abattage dit rituel ou la tauromachie, l’élevage des animaux à fourrure pour couvrir les épaules des belles dames, et des moches, de l’avenue Foche ou Montaigne - soient de plus en plus victimes de tumeurs malignes ?

 

Comment expliquer l’émergence de nouveaux types de cancer ?

 

La maladie d’Alzheimer, dont le premier cas clinique fut décrit en 1906, touche aujourd’hui en France près de un million de sujets, et les premiers symptômes frappent des victimes de plus en plus jeunes.

 

L’autisme est lui aussi en croissance exponentielle, comme le montrent les résultats d’une étude réalisée en 2004 par le Ministère de l’Education aux USA : 12 222 cas en 1992, 34 354 cas en 1997, 42 487 cas en 1998, 53 561 cas en 1999, 65 396 cas en 2000, 78 717 cas en 2001, 118 607 cas en 2001, 140 920 cas en 2003 (Réf. Biblio. Sylvie Simon, « Les dix plus gros mensonges sur les vaccins », Editions Danglès).

 

Je ne veux pas vous étourdir avec des chiffres, retenez simplement qu’entre 1992 et 2003, en douze années, le nombre est passé de 12 000 à 140 000 cas, soit une progression par un facteur douze.

 

De nombreuses études épidémiologiques américaines font état d’une prévalence (terme désignant le nombre de personnes atteintes dans une population donnée) de un enfant sur 50 touché par l’autisme.

 

De nombreux parents qui découvrent soudainement l’autisme de leur enfant affirment que les premières atteintes suivent de très près un épisode vaccinal. Malgré le nombre considérable de ces témoignages, laboratoires et pouvoirs publics continuent à affirmer la totale innocuité des dits vaccins.

 

Comme l’eut dit Shakespeare, il y a quelque chose de pourri dans le royaume de la santé publique et il serait bien temps que le simple bon sens remette un peu d’ordre dans tout cela.

 

L’exemple de la maladie de Lyme est particulièrement intéressant et préoccupant.

 

Apparue dans la petite ville de Lyme située dans le Connecticut, la maladie de Lyme est induite par une bactérie appelée Borrelia et transmise par la morsure de tiques ou de poux. On sait aujourd’hui qu’il existe d’autres voies de transmission, materno-fœtale, par transfusion sanguine, par contact sexuel… et sans doute aussi par la transformation de bactéries commensales en germes pathogènes, sous l’effet d’une intoxication immunodéprimante.

 

Il semblerait qu’en France, malgré les pouvoirs publics qui la considèrent toujours comme « maladie rare », la maladie de Lyme ou borréliose provoque une épidémie de plus en plus importante, plus importante en tout cas que le SIDA, quantitativement parlant.

 

Dans les années 1990, les publications scientifiques faisaient état d’une diffusion rare en France :

 

« L’endémie est plus limitée en France, puisqu’on compte une centaine de cas par an répartis en Corse et en région méditerranéenne » (Réf. Biblio. Thierry Eberlin, « Les infections microbiennes, Editions Nathan Université).

 

Aujourd’hui, malgré une sous-estimation dont j’aurai l’occasion de développer les causes, les professionnels de santé qui se sont penchés sérieusement sur le problème, considèrent que ce sont plusieurs centaines de milliers de citoyens français qui sont atteints par la maladie de Lyme.

 

Malheureusement les médecins ne disposent pas d’éléments d’information objectifs et de nombreux malades porteurs de borrélia sont traités à tort pour des pathologies rhumatismales, auto-immunes, neurodégénératives comme Parkinson, voire dirigés vers la psychiatrie.http://www.menlagarden.com

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